Guérande, la MEDIEVALE …
Si l’on en croit Honoré de Balzac, « Guérande, magnifique joyau de féodalité, n’a d’autre raison d’exister que de ne pas avoir été démolie ». Mais l’auteur des Chouans écrit cela en 1834 et il est vrai qu’à cette période, Guérande vit repliée sur elle-même, touchée par le déclin de la production de sel et n’ayant pas su se plier aux grandes mutations industrielles. Il faudra attendre la fin de la Seconde Guerre Mondiale pour que la « Carcassonne Bretonne…